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Les champs couverts par les 8 équipes de recherche comprennent :

• La caractérisation de la toxicité des mycotoxines produites par certains champignons (BioToMyc ; Biosynthèse & Toxicologie des Mycotoxines) ;

• Les régulations hormonales dans la fonction de barrière intestinale et les effets des xénobiotiques (nanoparticules, perturbateurs endocriniens...) sur l'axe microbiote-intestin-système immunitaire, de la période périnatale à l'âge adulte (ENTeRisk ; Endocrinologie & Toxicologie de la Barrière Intestinale) ;

• Développement d'approches intégratives pour l'évaluation des perturbateurs endocriniens et de leurs mécanismes d'action (EXPER ; Exposition, Perturbation Endocrino-métabolique & Reproduction) ;

• La génotoxicité et la signalisation intracellulaire (GS ; Génotoxicité & Signalisation) ;

• L'étude des effets des faibles doses des contaminants seuls ou en associations, par exemple dans le cas des pesticides; l'identification et la caractérisation de biomarqueurs d'effets ; la mise au point de nouveaux outils de détection en chimie et biologie ; le développement de concepts et outils en mathématique et bioinformatique pour analyser les données issues de la biologie des systèmes (MeX ; Métabolisme des Xénobiotiques) ;

• L'étude de la physiopathologie et la fonctionnalité de la barrière intestinale (NGN ; Neuro-Gastroentérologie & Nutrition) ;

• Comprendre pourquoi la viande rouge peut provoquer le cancer du côlon, et chercher les moyens de prévenir cette toxicité (PPCA ; Prévention et Promotion de la Cancérogenèse par les Aliments);

• La détermination des niveaux d’impact de xénobiotiques d’intérêt (médicaments, mycotoxines, contaminants de l’alimentation, perturbateurs endocriniens) sur les organismes, par des approches fonctionnelles, génomiques et analytiques (TIM ; Toxicologie Intégrative & Métabolisme)